[show-attachements] Cette première université d’été a réuni au Taylor’s University College à Kuala Lumpur (Malaisie), sous la houlette de Jean-Pierre Poulain, des chercheurs seniors et des doctorants des équipes danoises (University of Copenhagen et Aarhus University), suédoise (University of Uppsala), norvégienne (SIFO), anglaise (University of Manchester) et française (Université de Toulouse).

Deux universités asiatiques, en plus du Taylor’s University College, ont également rejoint la manifestation : l’Universiti Kebansaan Malaysia et la National University Singapore.

Des approches les plus théoriques à la diffusion des techniques, lors de la formation des personnels par exemple, l’éventail des thèmes traités autour des paradigms et des méthodes de la sociologie de l’alimentation, a été très large : meals patterns in the nordic countries (L. Holm), food and fun, eating out, identity and globalization (A. Warde), confiance et modernité alimentaire (U. Kjaernes), innovations, modes et engouements (J. Gronow), religion et alimentation (V. Sinha), anthropologie biologique de l’alimentation et anthropolgie du corps (G. Boëtsch), conflit ou cohésion dans une société pluriethnique (A.B. Shamsul).

Les présentations des doctorants ont porté sur alimentation et santé (aspects socio-culturels de la faim et de la satiété au Danemark par BJ Christensen et L. Hillersdal, effets protecteurs de la convivialité et de la commensalité par A. Dupuy, déterminants sociaux de l’observance diététique par T. Fournier), sur les nouvelles pratiques alimentaires (consommateurs d’aliments biologiques par A.H. Andersen, attachement au naturel par O. Lepiller) , sur les identités, les patrimoines alimentaires et la notion de patrimonialisation, avec notamment E. Mognard sur le foie gras.

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